Le message glaçant de Nikola Tesla concernant 3I/ATLAS, resté ignoré jusqu’à aujourd’hui ⚡📡 Parmi les notes et écrits de Nikola Tesla, certains passages ont longtemps été jugés trop obscurs ou impossibles à vérifier. L’un d’eux évoque un phénomène qui, des décennies plus tard, semble étrangement correspondre à ce que nous appelons aujourd’hui 3I/ATLAS. À l’époque, ces mots ont été mis de côté, sans suite officielle.

Alors que le mystérieux visiteur venu d’un autre système stellaire atteignait son périhélie ce 29 octobre 2025, des radiotélescopes ont capté une émission structurée sur la fréquence emblématique de 1420 MHz. Cette fréquence, dite « raie de l’hydrogène », était considérée par Nikola Tesla comme une constante universelle pour la communication interplanétaire.

Le signal, composé de pulses rythmés, a été décodé en une séquence mathématique précise : la suite de Fibonacci. Plus troublant encore, un message de quatre mots en a été extrait : « La porte attend ». Cette découverte plonge la communauté scientifique dans un débat sans précédent entre coïncidence cosmique et transmission délibérée.

L’objet, nommé 3I/ATLAS, a été détecté en juillet dernier. Sa trajectoire hyperbolique et sa composition chimique atypique ont immédiatement signalé son origine extrasolaire. Son comportement près du Soleil a défié les modèles, avec des sursauts d’activité imprévisibles et des émissions de gaz inexpliquées.

L’astrophysicien de Harvard, le Dr Avi Loeb, avait déjà évoqué une probabilité non nulle que l’objet soit d’origine artificielle. La détection de ce signal complexe, sur une fréquence spécifiquement liée à la recherche d’intelligence extraterrestre (SETI), donne un écho troublant à ses hypothèses.

Cette révélation fait émerger des archives oubliées concernant Nikola Tesla. En 1899, depuis son laboratoire du Colorado, l’inventeur affirmait avoir capté des signaux radio répétitifs en séquence de trois pulses. Il était convaincu qu’il s’agissait d’une « première salutation d’une planète à une autre ».

Tesla consacra des décennies à perfectionner des récepteurs pour décrypter ce qu’il croyait être un message venu de Mars. Ses notes, saisies par le FBI à sa mort en 1943, contenaient des schémas énigmatiques et des références à une « porte » et à une « harmonie » à atteindre pour communiquer.

Aujourd’hui, la similitude entre les pulses enregistrés par Tesla et ceux émis par 3I/ATLAS est frappante. Des documents FBI déclassifiés mentionnent d’ailleurs un « ensemble Tesla » réactivé après sa mort pour tenter une communication interplanétaire, montrant un intérêt officiel persistant pour ses travaux.

Actuellement, 3I/ATLAS est invisible, caché dans la glare solaire. Cette occultation temporaire, selon le Dr Loeb, constitue une fenêtre idéale pour une manœuvre non observée, utilisant l’assistance gravitationnelle du Soleil. L’impossibilité de le surveiller ajoute à la tension.

Plusieurs observatoires indépendants ont confirmé la réception simultanée du signal, écartant l’hypothèse d’une interférence locale. La communauté SETI appelle à la prudence mais reconnaît le caractère extraordinaire de données structurées venant d’un objet interstellaire.

La trajectoire de 3I/ATLAS le fera passer à 267 millions de kilomètres de la Terre en décembre. Les agences spatiales affirment qu’il ne présente aucune menace. Pourtant, le message « La porte attend » et les circonstances historiques de sa réception soulèvent des questions bien au-delà de l’astronomie.

Cette découverte intervient alors que les phénomènes aériens non identifiés font l’objet d’études gouvernementales ouvertes. Elle semble tisser un lien troublant entre les intuitions visionnaires d’un génie du siècle dernier et un événement céleste contemporain.

Dans les prochaines semaines, l’objet réapparaîtra de derrière le Soleil. Tous les télescopes du monde seront braqués sur lui, cherchant de nouvelles émissions, une réponse à nos propres signaux, ou simplement une explication conventionnelle. L’attente est insoutenable.

Une question hante les couloirs des instituts de recherche : et si Tesla, moqué de son vivant, avait simplement eu un siècle d’avance ? L’écho qu’il a capté en 1899 résonnerait-il enfin aujourd’hui à travers le vide interstellaire, porté par un messager de glace et de poussière ?