👽🌌 Un homme affirme avoir été enlevé par des extraterrestres — ce qu’il révèle sur l’humanité choque et dérange

EXCLUSIF : Un témoignage interdit émerge après trois décennies de silence.

En février 1989, un Néo-Zélandais nommé Alec Newhold a disparu pendant dix jours lors d’un trajet routier ordinaire. Il réapparut, hanté par des souvenirs impossibles et poursuivi par des agents secrets. Aujourd’hui, son histoire complète – longtemps étouffée – est enfin révélée, bouleversant tout ce que nous croyons savoir sur nos origines et notre avenir.

Selon son récit détaillé, Alec Newhold a été extrait de son véhicule par une force inconnue près de Rotorua. Il s’est retrouvé à bord d’un « vaisseau lumineux », entouré d’êtres humanoïdes à la peau bleu-gris. La communication s’y faisait par télépathie pure, un langage de pensées, de couleurs et de sons, infiniment plus précis que la parole.

Pendant sa captivité, son guide, une hybride nommée Xena, lui a délivré un message cataclysmique. L’humanité ne serait pas le fruit d’une lente évolution, mais le résultat d’un projet génétique dirigé par une ancienne race d’explorateurs stellaires, les « Anciens ».

Ces mêmes Anciens auraient guidé le développement humain et laissé des artefacts comme les pyramides de Gizeh, en réalité des modèles de leurs vaisseaux. Leur plan initial était une « coévolution » pacifique.

Mais une « force obscure », se nourrissant de la peur, se serait emparée de la Terre. Elle aurait altéré l’ADN humain, nous coupant d’une seconde dimension de la réalité et retardant notre développement de millénaires. Cette force opérerait aujourd’hui à travers les structures de pouvoir et les lois sociales.

Newhold affirme que les Anciens préparent un retour. Leur objectif : aider l’humanité à se libérer de cette emprise avant qu’une autre race extraterrestre, les « Gris », ne lance un programme de remplacement de l’espèce humaine via un virus ciblé.

À bord du vaisseau, Newhold a été soumis à des tests médicaux approfondis et a visité la planète d’origine des Anciens, Haven. Il y a observé une technologie reposant sur l’énergie électromagnétique ambiante, une source propre et infinie connue mais supprimée sur Terre depuis l’époque de Nikola Tesla.

Dès son retour, son calvaire terrestre a commencé. Il a découvert avoir perdu dix jours. Sa montre et l’horloge de sa voiture s’étaient arrêtées à la même heure. Des croquis inconnus remplissaient son carnet.

Il a ensuite été visité à deux reprises par des hommes se présentant comme des scientifiques du DSIR néo-zélandais, mais dont l’un arborait également une carte du puissant Royal Institute of International Affairs de Londres.

Ces agents se sont montrés particulièrement intéressés par sa voiture défectueuse. Après leur seconde visite, intrusif, Newhold a découvert son appartement fouillé. Les seuls objets volés étaient deux petits cristaux de pyrite trouvés dans son véhicule et les pages de ses croquis mystérieux.

Cette violation a paradoxalement débloqué ses souvenirs. Les fragments de son enlèvement ont refait surface, le poussant à tout consigner par écrit dans un livre, « Coévolution, une aventure interplanétaire », et à rompre le silence malgré les risques.

Le témoignage de Newhold jette une lumière troublante sur les phénomènes d’enlèvements et les observations d’OVNIs. Il suggère qu’ils font partie d’un conflit galactique immémorial dont la Terre est l’enjeu, et que notre réalité n’est qu’une fraction de ce qui existe.

La question centrale posée par son histoire est désormais publique : l’humanité est-elle une création destinée à l’autonomie, ou le bétail d’une force parasitaire ? La réponse, selon Alec Newhold, déterminera si nous disparaissons ou si nous accédons enfin à notre véritable héritage stellaire.

Les autorités néo-zélandaises n’ont jamais commenté publiquement les allégations de M. Newhold concernant le harcèlement présumé du DSIR. Le dossier, classé pendant des décennies, refait surface avec une actualité brûlante, alors que les phénomènes aériens non identifiés font l’objet de débats officiels sans précédent à travers le monde.