Un homme affirmant avoir été enlevé par des extraterrestres livre un témoignage troublant — un récit controversé qui questionne notre place dans l’univers et la nature réelle de l’humanité

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EXCLUSIF – Un témoignage qui ébranle les fondements de notre histoire. Un homme affirme avoir été enlevé par une intelligence extraterrestre en 1989, révélant une vérité vertigineuse sur les origines de l’humanité et une guerre silencieuse pour son avenir. Son récit, étouffé pendant des décennies, refait surface aujourd’hui.

Alec Newhold, un Néo-Zélandais ordinaire, a quitté sa ville de Rotorua un lundi de février 1989 pour un trajet routier de routine vers Auckland. À son arrivée, il était hagard, désorienté, et découvrit avec stupeur que dix jours entiers s’étaient écoulés. Sa montre et l’horloge de sa voiture s’étaient arrêtées à la même heure.

Plongé dans un brouillard mental, il fut hanté par des rêves récurrents et des migraines invalidantes. Sa voiture tomba inexplicablement en panne. En la vendant, il y découvrit deux cristaux de pyrite et un carnet de croquis rempli de dessins étranges, œuvres d’une main qu’il ne reconnaissait pas.

Peu après, deux hommes se présentant comme des scientifiques du DSIR, le département de la recherche néo-zélandais, frappèrent à sa porte. L’un d’eux montra également une carte du Royal Institute of International Affairs, alimentant la méfiance d’Alec. Ils s’intéressaient de manière obsessionnelle à sa voiture.

Malgré un déménagement discret, les mêmes individus le retrouvèrent quelques semaines plus tard, plus insistants. Le lendemain de leur visite, Alec constata une effraction dans son appartement. Seuls les cristaux de pyrite et des pages de son carnet avaient disparu. C’est alors que les souvenirs submergés commencèrent à remonter.

Par fragments, puis par vagues, l’expérience oubliée refit surface. Alec se souvint d’un épais brouillard sur la route, puis d’une sensation de ralenti extrême. Le volant vibra, tout trembla. Sa prochaine mémoire était celle d’une suspension dans les airs, au-dessus d’une surface de glace luminescente, entouré d’un anneau de lumière bleue.

Dans cet état, il perçut des entités éthérées à la lueur dorée. Une profonde tranquillité l’envahit, sans peur ni anxiété. Sa vision s’ajusta pour révéler deux êtres humanoïdes aux formes féminines, mais à la peau bleu-gris lisse et brillante, sans poils, avec de grands yeux et une tête disproportionnée.

Sans un mot, par télépathie, ils lui indiquèrent de les suivre. Il pénétra dans une capsule transparente qui lui ajusta une combinaison identique à la leur, transformant son apparence. Une pensée fut implantée dans son esprit : il avait le choix de les suivre vers un environnement plus confortable.

Il suivit l’une des entités jusqu’à une pièce circulaire meublée. Là, une femme humaine nommée Milly l’accueillit par télépathie. Elle lui expliqua qu’il se trouvait à bord d’un « vaisseau lumineux », un transporteur spatial. La communication télépathique, précise et universelle, était la norme pour sa race.

Milly fut rapidement relayée par Xena, son guide attitrée. C’est par elle qu’Alec apprit la vérité choquante. L’évolution humaine n’est pas le fruit du hasard, mais d’un design intelligent. Des visiteurs extraterrestres, les « Anciens », ont procédé à des manipulations génétiques pour créer Homo sapiens.

Ces Anciens ont guidé l’humanité, laissant des monuments comme les pyramides de Gizeh, modèles de leurs vaisseaux capables de changer de forme. Leur plan était de révéler un jour tous les secrets de l’univers à leur création. Mais une force obscure a corrompu ce dessein.

Cette force, se nourrissant de peur, a modifié l’ADN humain, limitant ses capacités et l’enfermant dans une fréquence vibratoire basse. Elle s’est infiltrée dans les structures de pouvoir terrestres, utilisant la religion, puis les lois, pour entretenir un climat de peur et de contrôle.

Le but des Anciens, venant de la planète Haven, est désormais d’aider l’humanité à se libérer de cette emprise. Ils parlent de « coévolution », une alliance future. Mais une menace immédiate pèse : une autre race extraterrestre, les « Gris », collabore avec des factions militaires terrestres.

Leur objectif serait de créer une nouvelle race humaine résistante à un virus spécifique, puis de relâcher ce virus pour décimer la population actuelle. Les tests subis par Alec à bord du vaisseau visaient justement à détecter sa résistance à divers agents pathogènes.

Pendant son séjour, Alec explora le vaisseau aux murs en nid d’abeille émettant une lumière bleu-blanc sans source visible. Il apprit que l’énergie qui le propulsait était électromagnétique, une source infinie et gratuite que Tesla avait tenté en vain de développer sur Terre.

Xena lui révéla également l’existence d’une seconde dimension, négative, parallèle à la nôtre. Y accéder permettrait de transcender le temps et l’espace. Les « glissements dimensionnels » expliqueraient des phénomènes communs, comme la disparition soudaine d’un objet qui réapparaît au même endroit.

Après des tests, Alec fut conduit sur Haven. Il découvrit une civilisation avancée dont le système numérique était basé sur le 12, un nombre sacré. Leur écriture intégrait des couleurs et des notes musicales pour éviter toute ambiguïté. Leur projet ultime : une hybridation avec l’humanité.

De retour sur Terre, Alec Newhold tenta de partager son histoire. Il écrivit un livre, « Coévolution, une aventure interplanétaire ». Mais les pressions et l’intrusion des mêmes agents supposés gouvernementaux le contraignirent au silence, confisquant les preuves matérielles de son voyage.

Aujourd’hui, son témoignage ressurgit avec une urgence brûlante. Il décrit une humanité à la croisée des chemins, créée par les étoiles, asservie par une force d’ombre, et dont le destin se joue dans une lutte cosmique dont elle ignore jusqu’à l’existence. La question demeure : sommes-nous prêts à entendre la vérité ?