La NASA Aurait Caché la Vérité sur l’Équipage de Challenger — Et Ce Qu’ils Ont Découvert Serait Terrifiant 🚀⚠️ De nouveaux témoignages et documents réapparus soulèvent une question troublante : l’équipage aurait-il observé quelque chose juste avant l’explosion ? Certains détails passés sous silence évoquent des anomalies dans les communications, des signaux inexplicables…

La vérité sur les dernières minutes des sept astronautes, longtemps éclipsée par le récit officiel d’une mort instantanée, émerge enfin des archives techniques de la NASA. Des preuves indiquent que certains membres d’équipage étaient conscients et ont tenté de réagir après la rupture du véhicule.

Ce 28 janvier 1986, le lancement de Challenger était déjà controversé. Malgré les mises en garde urgentes d’ingénieurs concernant le risque posé par le froid sur les joints des propulseurs, la pression du calendrier a prévalu. La NASA et son sous-traitant Morton Thiokol ont donné leur feu vert.

Soixante-treize secondes après le décollage, une fuite de gaz brûlants a provoqué la rupture du réservoir externe. Contrairement à la croyance publique, l’orbiteur ne fut pas pulvérisé par une explosion. Il fut déchiré par des forces aérodynamiques extrêmes.

Il y a trente ans, la navette Challenger explosait au décollage

Le module de l’équipage, une capsule robuste, est resté largement intact. Il a continué son ascension avant d’entamer une chute libre de près de trois minutes vers l’océan Atlantique. L’impact final, à une vitesse estimée à 200 miles par heure, fut instantanément fatal.

Cependant, l’analyse des débris a livré des indices glaçants. Trois des quatre unités d’air d’urgence individuelles (PEAPs) avaient été activées manuellement. L’une d’elles, appartenant au pilote Michael Smith, fut actionnée par un collègue, car son interrupteur était hors de sa portée.

Des disjoncteurs dans le cockpit avaient également été manipulés après la désintégration, probablement dans une tentative désespérée de rétablir l’alimentation électrique. Ces actions démontrent qu’au moins un astronaute était vivant et fonctionnel après la rupture du véhicule.

Le rapport interne du Dr Joseph Kerwin, médecin de la NASA, conclut en 1986 que les forces de la désintégration n’étaient probablement pas mortelles. La cause précise et la durée de la conscience restent inconnues, mais la possibilité d’une survie temporaire est établie.

Dans les semaines suivant la catastrophe, l’agence spatiale a privilégié un récit de mort immédiate, citant le respect pour les familles et le public. Les détails techniques troublants furent relégués dans des annexes, éclipsés par l’image publique d’une explosion soudaine.

Cette tragédie a exposé une culture organisationnelle dysfonctionnelle au sein de la NASA, où les alertes techniques furent ignorées face aux pressions politiques et médiatiques. La commission Rogers a sévèrement critiqué ce processus décisionnel défaillant.

Aujourd’hui, l’héritage de Challenger pose une question éthique persistante : jusqu’où une institution doit-elle aller pour révéler la vérité, aussi brutale soit-elle, sur les derniers instants de ceux qui meurent sous sa responsabilité ?

Les sept astronautes – Dick Scobee, Michael Smith, Christa McAuliffe, Judith Resnik, Ellison Onizuka, Ronald McNair et Gregory Jarvis – ont fait confiance à ceux qui les envoyaient dans l’espace. Leurs actions silencieuses dans la capsule tombante rappellent le coût humain ultime d’un échec de gestion.

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